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Observations finales concernant l’examen du troisième rapport périodique du Bénin par le Comité contre la Torture

Comité contre la torture Observations finales concernant le troisième rapport périodique du Bénin* 1. Le Comité contre la torture (« Le Comité ») a examiné le troisième rapport périodique du Bénin (CAT/C/BEN/3) à ses 1734è et 1737è séances, les 2 et 3 mai 2019, et a adopté, à sa 1752ème séance, tenue le 15 mai 2019, les conclusions et recommandations ci-après. A. Introduction 2. Le Comité prend note de la présentation du troisième rapport périodique du Bénin tout en regrettant sa soumission avec six ans de retard. Il se félicite d’avoir pu reprendre avec l’État partie un dialogue constructif au sujet des mesures prises pour appliquer les dispositions de la Convention. Le Comité remercie l’État partie pour ses réponses écrites (CAT/C/BEN/3/Add.1) à la liste des points, complétées oralement par la délégation. B. Aspects positifs 3. Le Comité constate avec satisfaction l’adhésion, par l’État partie, aux instruments relatifs aux droits de l’homme suivants: a) Le deuxième protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, visant à abolir la peine de mort, en 2012; b) La Convention relative aux droits des personnes handicapées, ainsi que le Protocole facultatif s’y rapportant, en 2012; c) La Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, en 2017; d) La Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, en 2018. 4. Le Comité accueille également avec satisfaction l’adoption par l’Etat partie des mesures législatives ci-après: a) La loi n°2011-20 (2011) portant lutte contre la corruption et les infractions connexes en République du Bénin; b) La loi n°2011-26 (2012) portant prévention et répression des violences faites aux femmes; c) La loi n°2012-15 (2012) portant Code de procédure pénale en République du Bénin; d) La loi n°2012-36 (2013) portant création de la Commission béninoise des Droits de l’Homme; e) La loi n°2003-03 (2003) portant répression de la pratique des mutilations génitales féminines en République du Bénin; f) La loi n°2015-08 (2015) portant Code de l’enfant en République du Bénin; g) La loi n°2016-12 (2016) portant travail d’intérêt général en République du Bénin; h) La loi n°2018-16 (2018) portant Code pénal; i) Le Décret n°2018-043 (2018) portant commutation des peines de mort en peine de prison à perpétuité. C. Principaux sujets de préoccupation et recommandations Questions soulevées lors du précédent cycle de présentation de rapports appelant un suivi 5. Nonobstant les informations tardives reçues en réponse à la liste de points, le Comité regrette que l’État partie n’ait pas fourni, dans le cadre de la procédure de suivi, les informations sollicitées dans ses observations finales précédentes (CAT/C/BEN/CO/2, par. 33), sur : les révisions nécessaires au projet de Code pénal- et de Code de procédure pénale -aujourd’hui adoptés- ; l’adoption d’un cadre législatif pour réglementer l’expulsion, le refoulement et l’extradition; les garanties fondamentales ; l’administration de la justice ; l’âge de responsabilité légale des mineurs ; la compétence universelle ; la surveillance des lieux de détention ; et les conditions de détention. Ces sujets sont couverts dans les présentes observations finales, aux paragraphes 7, 97, 11, 13, 15, 17, 19, 23 et 25 ci-dessous. Définition de la torture 6. Eu égard à sa précédente recommandation (au par. 7), le Comité salue l’adoption par l’État partie du Code pénal (Loi n°2018-16 du 4 juin 2018), dont l’article 523 définit et incrimine la torture de manière autonome, alors que l’article 465 envisage ce crime sous le prisme du droit international humanitaire. Le Comité relève toutefois un certain nombre de lacunes dans ces dispositions, qui : (a) ne retiennent pas l’hypothèse où un tel acte serait commis à l’instigation, ou avec le consentement exprès ou tacite d’un agent de la fonction publique, ou autre agent officiel ; (b) ne retiennent pas la complicité ou la tentative de commettre des actes de torture ; (c) ne prévoient pas la responsabilité pénale des supérieurs hiérarchiques lorsqu’ils ont connaissance d’actes de torture ou de mauvais traitements commis par leurs subordonnés ; (d) ne prévoient pas l’exclusion des actes de torture du champ des amnisties et de la prescription; (e) omettent de spécifier qu’aucune circonstance exceptionnelle n’est à même de justifier la torture ; et (f) prévoient (aux articles 543 et 545 du Code pénal) des exceptions relatives aux homicides, blessures et coups ordonnés par la loi et commandés par une autorité légitime, ou portés en légitime défense, sans exclure les actes de torture du champ de ces exceptions. Enfin, le Comité est préoccupé quant aux faibles peines réprimant le crime de torture (art. 1, 2 et 4). 7. Saluant la volonté de l’Etat partie de remédier aux lacunes susmentionnées, le Comité invite ce dernier à amender son Code pénal, afin de rendre l’incrimination de la torture conforme aux articles premier, 2 et 4 de la Convention. Il devrait également rendre le crime de torture imprescriptible, non sujet à l’amnistie, et passible de peines appropriées qui prennent en considération leur gravité, conformément au paragraphe 2 de l’article 4 de la Convention. Irrecevabilité des aveux obtenus sous la torture 8. En dépit de l’affirmation générale de l’Etat partie, selon laquelle les éléments de preuve obtenus illégalement ne sont pas acceptés devant les tribunaux, le Comité déplore qu’aucune disposition législative ne prohibe expressément l’obtention des aveux sous la torture et les mauvais traitements. Le Comité regrette en outre l’absence d’informations relatives à l’application de ce principe par les juges (art. 15). 9. L’État partie doit prendre les mesures nécessaires, y compris législatives, afin de garantir que les aveux obtenus sous la torture et les mauvais traitements soient systématiquement frappés de nullité, et faire respecter cette obligation dans la pratique. Garanties fondamentales 10. Tout en accueillant favorablement les garanties fondamentales édictées dans le Code de procédure pénale, notamment le droit d’être informé des motifs de la garde à vue, de se faire examiner par un médecin de son choix, d’informer et recevoir un membre de sa famille (art. 59) et de se constituer un avocat (art. 59), le Comité

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Justice pénale

Réunion du Comité mixte de suivi et du Collège des personnes ressources du projet ”Plaidoyer pour la mise en place d’un Mécanisme National de Prévention de la torture en République du Bénin ”

Le 18 juin 2019, le Comité mixte de suivi accompagné du Collège des personnes ressources du projet ” Plaidoyer pour la mise en place d’un Mécanisme National de Prévention de la torture en République du Bénin ” , financé par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme à travers le Fonds spécial OPCAT a tenu sa première réunion qui fut agrémentée par : Les débats ont été conduits par les soins du Facilitateur de circonstance, Mr Ralmeg GANDAHO, Président du Conseil d’Administration de l’ONG Changement Social Bénin.

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Colloque sur la protection de l'enfant au Bénin : des textes aux réalités

Colloque sur la protection de l’enfant au Bénin: des textes aux réalités

En prélude à la commémoration de la Journée de l’Enfant Africain, édition 2019, et du trentième anniversaire de la Convention Internationale sur les Droits de l’Enfant, Changement Social Bénin en partenariat avec la Chaire UNESCO des Droits de la Personne Humaine et de la Démocratie et la Maison de la Société Civile ainsi que l’appui financier de l’Ambassade de France près le Bénin, a organisé les 12 et 13 juin 2019, un Colloque scientifique sur la << Protection de l’enfant au Bénin : des textes aux réalités >>. L’ opportunité de la date de cette réflexion scientifique au service de l’épanouissement de l’enfant au Bénin s’est davantage justifiée d’une part, à travers la célébration, le 12 juin 2019, du Centenaire de la Journée Mondiale contre le travail des enfants et d’autre part, par la tenue d’un débat thématique de haut niveau à Genève le 13 juin 2019 sur les droits de l’enfant. Ce Colloque fut organisé autour de quatre panels pour l’animation de huit communications.Le premier panel, consacré à la radioscopie de la sécurité des enfants au Bénin, a connu l’animation de deux communications dont l’une sur << Pratiques traditionnelles endogènes néfastes à l’intégrité physique des enfants >> et l’autre sur << Formes d’exploitation économique des enfants au Bénin >>. Les communications sur << Législation sur les droits de l’enfant et défis >> et << Chaîne institutionnelle de protection de l’enfant et défis opérationnels >> ont agrémenté le deuxième panel qui a porté sur l’état des lieux des instruments juridiques et institutions de protection des enfants. Quant au troisième panel, il a été dédié aux expériences des autres pays en matière de protection des enfants et fut organisé autour de << Point de la jurisprudence des mécanismes internationaux de protection de l’enfant >> et << Exposé des mesures et pratiques exemplaires de protection de l’enfant en Afrique >>. Enfin, le quatrième et dernier panel a porté sur la budgétisation des actions de protection de l’enfant et recommandations pour relever les défis mis en exergue par la radioscopie. Ce panel a permis la présentation d’une part, d’une communication sur << Évaluation de la part budgétaire allouée à la chaîne de protection de l’enfant >> et d’autre part, d’une communication sur << Perspectives pour une coordination efficace de la protection de l’enfant au Bénin >>. Ce Colloque a réuni les acteurs tant étatiques et de la société civile que du monde universitaire ainsi que les Partenaires Techniques et Financiers pour croiser leurs regards sur les défis liés à la protection des droits des enfants au Bénin en vue de l’amélioration du système national de protection de ces derniers. Il était essentiellement question de mettre la science au service du bonheur de la << Promesse du lendemain >> de notre pays le Bénin.

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Observations finales concernant l’examen du troisième rapport périodique du Bénin par le Comité contre la Torture

Comité contre la torture Observations finales concernant le troisième rapport périodique du Bénin* 1. Le Comité contre la torture (« Le Comité ») a examiné le troisième rapport périodique du Bénin (CAT/C/BEN/3) à ses 1734è et 1737è séances, les 2 et 3 mai 2019, et a adopté, à sa 1752ème séance, tenue le 15 mai 2019, les conclusions et recommandations ci-après. A. Introduction 2. Le Comité prend note de la présentation du troisième rapport périodique du Bénin tout en regrettant sa soumission avec six ans de retard. Il se félicite d’avoir pu reprendre avec l’État partie un dialogue constructif au sujet des mesures prises pour appliquer les dispositions de la Convention. Le Comité remercie l’État partie pour ses réponses écrites (CAT/C/BEN/3/Add.1) à la liste des points, complétées oralement par la délégation. B. Aspects positifs 3. Le Comité constate avec satisfaction l’adhésion, par l’État partie, aux instruments relatifs aux droits de l’homme suivants: a) Le deuxième protocole facultatif se rapportant au Pacte international relatif aux droits civils et politiques, visant à abolir la peine de mort, en 2012; b) La Convention relative aux droits des personnes handicapées, ainsi que le Protocole facultatif s’y rapportant, en 2012; c) La Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, en 2017; d) La Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, en 2018. 4. Le Comité accueille également avec satisfaction l’adoption par l’Etat partie des mesures législatives ci-après: a) La loi n°2011-20 (2011) portant lutte contre la corruption et les infractions connexes en République du Bénin; b) La loi n°2011-26 (2012) portant prévention et répression des violences faites aux femmes; c) La loi n°2012-15 (2012) portant Code de procédure pénale en République du Bénin; d) La loi n°2012-36 (2013) portant création de la Commission béninoise des Droits de l’Homme; e) La loi n°2003-03 (2003) portant répression de la pratique des mutilations génitales féminines en République du Bénin; f) La loi n°2015-08 (2015) portant Code de l’enfant en République du Bénin; g) La loi n°2016-12 (2016) portant travail d’intérêt général en République du Bénin; h) La loi n°2018-16 (2018) portant Code pénal; i) Le Décret n°2018-043 (2018) portant commutation des peines de mort en peine de prison à perpétuité. C. Principaux sujets de préoccupation et recommandations Questions soulevées lors du précédent cycle de présentation de rapports appelant un suivi 5. Nonobstant les informations tardives reçues en réponse à la liste de points, le Comité regrette que l’État partie n’ait pas fourni, dans le cadre de la procédure de suivi, les informations sollicitées dans ses observations finales précédentes (CAT/C/BEN/CO/2, par. 33), sur : les révisions nécessaires au projet de Code pénal- et de Code de procédure pénale -aujourd’hui adoptés- ; l’adoption d’un cadre législatif pour réglementer l’expulsion, le refoulement et l’extradition; les garanties fondamentales ; l’administration de la justice ; l’âge de responsabilité légale des mineurs ; la compétence universelle ; la surveillance des lieux de détention ; et les conditions de détention. Ces sujets sont couverts dans les présentes observations finales, aux paragraphes 7, 97, 11, 13, 15, 17, 19, 23 et 25 ci-dessous. Définition de la torture 6. Eu égard à sa précédente recommandation (au par. 7), le Comité salue l’adoption par l’État partie du Code pénal (Loi n°2018-16 du 4 juin 2018), dont l’article 523 définit et incrimine la torture de manière autonome, alors que l’article 465 envisage ce crime sous le prisme du droit international humanitaire. Le Comité relève toutefois un certain nombre de lacunes dans ces dispositions, qui : (a) ne retiennent pas l’hypothèse où un tel acte serait commis à l’instigation, ou avec le consentement exprès ou tacite d’un agent de la fonction publique, ou autre agent officiel ; (b) ne retiennent pas la complicité ou la tentative de commettre des actes de torture ; (c) ne prévoient pas la responsabilité pénale des supérieurs hiérarchiques lorsqu’ils ont connaissance d’actes de torture ou de mauvais traitements commis par leurs subordonnés ; (d) ne prévoient pas l’exclusion des actes de torture du champ des amnisties et de la prescription; (e) omettent de spécifier qu’aucune circonstance exceptionnelle n’est à même de justifier la torture ; et (f) prévoient (aux articles 543 et 545 du Code pénal) des exceptions relatives aux homicides, blessures et coups ordonnés par la loi et commandés par une autorité légitime, ou portés en légitime défense, sans exclure les actes de torture du champ de ces exceptions. Enfin, le Comité est préoccupé quant aux faibles peines réprimant le crime de torture (art. 1, 2 et 4). 7. Saluant la volonté de l’Etat partie de remédier aux lacunes susmentionnées, le Comité invite ce dernier à amender son Code pénal, afin de rendre l’incrimination de la torture conforme aux articles premier, 2 et 4 de la Convention. Il devrait également rendre le crime de torture imprescriptible, non sujet à l’amnistie, et passible de peines appropriées qui prennent en considération leur gravité, conformément au paragraphe 2 de l’article 4 de la Convention. Irrecevabilité des aveux obtenus sous la torture 8. En dépit de l’affirmation générale de l’Etat partie, selon laquelle les éléments de preuve obtenus illégalement ne sont pas acceptés devant les tribunaux, le Comité déplore qu’aucune disposition législative ne prohibe expressément l’obtention des aveux sous la torture et les mauvais traitements. Le Comité regrette en outre l’absence d’informations relatives à l’application de ce principe par les juges (art. 15). 9. L’État partie doit prendre les mesures nécessaires, y compris législatives, afin de garantir que les aveux obtenus sous la torture et les mauvais traitements soient systématiquement frappés de nullité, et faire respecter cette obligation dans la pratique. Garanties fondamentales 10. Tout en accueillant favorablement les garanties fondamentales édictées dans le Code de procédure pénale, notamment le droit d’être informé des motifs de la garde à vue, de se faire examiner par un médecin de son choix, d’informer et recevoir un membre de sa famille (art. 59) et de se constituer un avocat (art. 59), le Comité

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Justice pénale

Atelier d’appropriation des standards internationaux en matière de prévention de la torture

Le Mardi 16 Avril 2019, a été organisé à l’Hôtel PARADISIA de Godomey, l’atelier d’appropriation des standards internationaux en matière de prévention de la torture dans le cadre du projet « Plaidoyer pour la mise en place d’un Mécanisme National de Prévention de la torture en République du Bénin » Initié par l’ONG Changement Social Bénin avec l’appui financier du Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme (HCDH) à travers le Fonds spécial Optional Protocol to Convention Against Torture (OPCAT), cet atelier a porté sur le plaidoyer en vue de la mise en place d’un Mécanisme National de Prévention de la torture (MNP) au Bénin. Après l’accueil et l’installation des participants provenant des ministères sectoriels (Ministère de la Justice et de la Législation, Ministère de la Défense Nationale), de la Commission Béninoise des Droits de l’Homme (CBDH), du Programme des Nations Unies pour le Développement au Bénin PNUD Bénin), de l’Ambassade de France près le Bénin, des Organisations de la Société Civile intervenant dans le domaine de la prévention de la torture au Bénin, la Directrice Exécutive de l’ONG Changement Social Bénin, Madame Alexandrine TCHEKESSI, a prononcé ses mots de bienvenue. A sa suite, Montesquieu HOUNHOUI, Coordonnateur du projet « Plaidoyer pour la mise en place d’un Mécanisme National de Prévention de la torture en République du Bénin » a livré une présentation dudit projet. La Commission Béninoise des Droits de l’Homme (CBDH), principale bénéficiaire de ce plaidoyer s’est exprimée à travers sa Vice-Présidente, Madame Sidikatou ADAMON HOUEDETE. Enfin, comme de principe et pour rassurer de la caution politique du Ministère de la Justice et de la Législation à l’aboutissement heureux de ce projet, le Secrétaire Général Adjoint dudit Ministère, Monsieur Clément DASSI, a prononcé une brève allocution avant de lancer officiellement la mise en œuvre du projet. Cet atelier a connu l’animation d’une communication portant sur l’établissement et le fonctionnement d’un Mécanisme National de Prévention de la torture, par le Juriste spécialiste en droits humains, Monsieur Erick HACHEME et sous la modération de Me Huguette BOKPE GNACADJA, Avocate à la Cour et spécialiste en Genre. A la suite de cette communication, s’en sont suivis des débats généraux puis deux groupes de travail ont été constitués pour suggérer un modèle de Mécanisme National de Prévention de la torture assorti d’une feuille de route pour le plaidoyer en vue de sa mise en place. Au terme des travaux et après présentation des suggestions des groupes de travail, il a été opté pour une CBDH en tant que MNP puis une feuille de route consensuelle fut adoptée à l’unanimité et un comité mixte de suivi de sa mise en œuvre a été mis sur pied.

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